Sexe et première soumission histoire vécue réellement

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 12 ans

En juin 2008, un mercredi, en soirée, c'est en principe une de mes soirées disponibles. Je suis ce soir la sur Paris, et l'envie de sortir du classique ciné X ou sauna, je décide donc d'aller faire un tour aux urinoirs, d'un lieu chaud de la capitale, histoire de changer un peu et découvrir peut être autre chose

Comme toujours, préalablement à chacune de mes sortie, longue séance de préparation. Douche et lavement anal, épilation complète puis habillage. Je choisi de mettre une robe bleue turquoise qui n'as qu'une seule manche, la gauche, et laisse apparaitre la totalité du sein droit, elle est très courte, d'un coté laissant bien visible le haut de ma cuisse droite, bien au dessus du bas résille et un peu plus longue de l'autre. J'enfile un petit string noir, et par-dessus le tout un survêtement léger. Dans mon sac perruque blonde cheveux mi longs, chaussures noires à talon aiguille, produits de maquillage, ainsi que préservatifs, (pour ceux qui ne baisent pas nokapote) gel, lingettes, de quoi messieurs, faire votre toilette après éjaculation.

Arrivée sur les lieux, des urinoirs très occupés et des hommes attendent derrière. Certains n'attendent pas de façon passive, Des mains traînent sur les braguettes, des queues s'en libèrent, assez discrètement. Quant aux cabines, elles sont pleines. J'attends, assez excitée par l'ambiance, qu'une main se pose sur ma braguette, je peux faire de même, mais je suis d'une attitude passive. Une main finit par venir raidissant encore un peu plus ma bite. Le type se place devant moi, baisse mon survêtement, je suis un peu gênée par le manque de discrétion mais décide de me laisser faire, après tout, les gens qui viennent ici le font en connaissance de cause. Il semble très apprécier mes sous vêtements et me le dit. L'inconnu se met à me masturber. Il se met à genoux commence à sucer ma queue quand un mouvement de foule fait rapidement se vider la salle. Deux flics en képi. Je me retrouve donc dehors.

Le type se retrouve à mes cotés

  • Dommage !
  • Oui, mais on peut se revoir !
  • Je te paye un coup !
  • OK !

Nous nous dirigeons vers un bistrot tout à fait classique. C'est au bar qu'il me fait cette étrange proposition :

  • T'aimerais participer à unes soirées privées?

  • Oui pourquoi pas !

  • J'ai eu l'occasion de rencontrer un type qui organise des parties entièrement masculines, et pour varier les plaisirs de temps en temps il invite un ou deux travestis, et une bonne dizaine d'hommes je lui sers un peu de rabatteur, si ça t'intéresse?

  • Et on fait quoi ?

  • On se branle, on se suce, on t'encule, un peu de SM aussi, mais c'est lui qui dirige tout. Je t'assure c'est génial, je te préviens c'est préférence no-capote, test obligatoire, mais t'est pas obligée. (C'est bon j'en ai un tout récent, et rien fait depuis. Puis rien qu'a l'idée de baiser natue et recevoir du jus Hummm!!!)

Je lui demande des précisons

  • Il ne veut pas que je donne l'adresse, mais il y a une partie jeudi prochain. Je peux t'emmener

  • C'est OK

(Hé que oui, sa m'intéresse, une dizaine de males à satisfaire, plusieurs fois au ciné X j'ai pris plus d'une dizaine de bites dans les fesses en une apres midi, donc ce n'est pas un problème !!!

Préparée de la façon identique à mercredi dernier, le jour et à l'heure fixé Marco est au rendez-vous, on monte dans un taxi. Une fois sur place, on prend un escalier de service et le maître des lieux nous accueille

  • Nous attendons encore deux personnes et nous pourront commencer. Marco je te laisse conduire notre invitée dans la grande salle, Il y a un petit buffet à votre disposition et quelques films pour vous exciter!

Dans la salle, il y a déjà 9 hommes, et le spectacle est tout à fait charmant. Deux grandes télés diffusent des films gays, le premier dans le genre traditionnel avec des gays supers musclés ne m'intéresse pas, mais l'autre montre des travestis et hommes ressemblant au plus commun des mortels et leurs ébats ne me laissent pas longtemps indifférente. Je m'empresse de me mettre en tenue, virer mon survêtement, mettre ma perruque, mes chaussures à talons me maquiller et je n'oublie pas de bien me lubrifier l'anus.

Pour faire comme les autres invités, je me sers quelques bricoles au buffet, il n'y a pas d'alcool que des jus de fruits, aussi quelqu'un me rassure en me précisant que le champagne arrivera plus tard. Mon interlocuteur a comme tous les autres la bite sortie de la braguette, une jolie bite! Cela semble être la tradition des lieux, mais je ne peux pas m'empêcher de reluquer la queue de mon voisin !

  • Elle est magnifique !

  • Je sais, vas-y caresse-là !

Je ne me fais pas prier et commence quelques mouvements de masturbation. Je l'aurais bien sucée, mais je suis un peu gênée de ne pas bien connaître les habitudes de la maison. Sur ces entre faits arrivent deux autres hommes dont un grand noir à l'air jovial qui sort de sa braguette une énorme bite. Le maître des lieux, après vérification de nos dépôts de test, nous avise

  • On va bientôt commencer, mettez-vous à poil ce sera plus cool ! Claudia tu retire seulement ton string.

Toute l'assemblée entreprend donc de se déshabiller, Paul, mon voisin de tout à l'heure se colle à moi, mais cela ne me gêne pas du tout.

  • Dis donc, tu as des beaux petits bouts de seins !
  • C'est à f o r c e de me les faire pincer, et des restes d'hormone femelle!
  • Je peux ?
  • Bien sûr!

Et pendant qu'il me tripote les tétons, je continue à jouer avec sa bite, je jette un coup d'œil circulaire autour de moi et m'aperçois qu'un peu plus loin, un type en suce un autre. Puisque la pratique semble autorisée, pourquoi me gêner, je me mets donc à genoux devant Paul et je commence par lui donner des petits bisous sur le gland. Comme il ne proteste pas j'introduis son sexe dans ma bouche et commence une fellation en règle! Mais je suis vite interrompue par l'arrivé de Louis le maître des lieux, suivi d'Alain son assistant, ils sont complètements nus, sous une grande cape noire, ouverte (un peu ridicules)

  • Nous vous laisserons terminer cette soirée comme vous l'entendez, mais auparavant nous allons nous livrer à quelques attractions. Tout le monde est d'accord ? (Il n'y a bien sûr aucune objection).

  • Mettez vous en ligne ici, et Claudia, notre invitée du jour va désigner la plus belle bite de l'assemblée.

Puis il se tourne vers moi :

  • Ca ne doit pas être trop difficile de trouver le vainqueur ?
  • Ce n'est pas dit, il faut goûter, dès fois on a des surprises !
  • Alors vas-y !

Je me place à l'extrémité gauche de la file, et j'entreprends de les sucer brièvement les unes après les autres. Je trouve la situation extrêmement excitante, et laisse quelques queues pratiquement dans un état de pré jouissance.

  • Alors ce vainqueur ?

  • Pour moi, c'est William ! Le grand noir ! (il est vrais qu'avec un tel calibre 25X6 difficile de se tromper !!!)

  • On est d'accord, William est vainqueur

  • Maintenant tout le monde se tourne, nous allons désigner le plus beau cul de la soirée

Chacun des deux larrons, Louis le maitre des lieux et Alain son assistant, commencent comme moi tout à l'heure à l'extrémité gauche de la file, à peloter les culs, les uns après les autres et les embrasser. C'est mon tour, en fin de file. Ils sont deux à m'ausculter les fesses et l'anus, j'ai droit à un examen plus approfondi, chacun leur tour en plus du pelotage, ils y font pénétrer un doigt, puis deux, puis trois, et jouent ainsi.

  • Regarde-moi cet arrière train ! Un vrai cul de gonzesse.

Je ne m'attendais pas à ce genre de remarque

  • Un petit peu étroit, peut-être ?
  • Ca ne fait rien c'est le plus beau ! Puis ils s'adressent à l'assemblée :
  • Le vainqueur ou plutôt la gagnante est donc Claudia
  • Je vous propose d'unir la plus belle bite avec le plus beau cul. William va donc enculer Claudia.

Je proteste, précisant que je n'ai rien contre William, ni contre sa bite, mais quelque chose contre la grosseur de celle-ci, avant de recevoir un tel membre il est préférable que d'autres bites passent avant pour bien dilater et lubrifier mon anus. La situation amuse Louis qui se tourne vers Marco.

  • Dis donc, Marco, tu aurais pu nous prévenir que tu nous amenais une pucelle ?

Marco essaye de bredouiller quelques mots d'excuses.

  • Non ça mérite une punition ! Viens ici on va t'attacher à cette croix et te punir comme il faut

Cette punition n'a pas l'air de contrarier l'ami Marco qui se prête de bonne grâce à cette petite comédie. On l'attache à une croix de Saint-André, face contre croix, puis Louis, le maitre des lieux, qui s'est saisi d'un martinet commence à lui frapper les fesses. Les coups sont d'abord moyens, mais Marco supporte bien, alors ils deviennent plus fort et atterrissent non seulement sur le cul, mais aussi sur le dos et sur les cuisses. Quand on le détache sa bite est toute raide !

  • Tu vas lui ouvrir le chemin, ça t'apprendras, et après William prendra le relais.

Le maitre m'ordonne de me placée à quatre pattes sur une table basse, il m'écarte les fesses, m'enduit le cul de vaseline et laisse la place à Marco qui pénètre mon anus. Il encule bien, avec douceur.

Pour une punition, il s'en sort plutôt bien, mais Louis ne lui permet pas d'aller jusqu'au bout.

  • Tu te videras dans sa bouche plus tard.

William prend ensuite le relais

  • Tu ne jouis pas dans son cul ! Mais sur son anus et tu pousses tout au fond, nous voulons voir ton abondant foutre inonder ces fesses. (Louis et Alain se relaient pour filmer en gros plan la scène)

La bite de William ne passe pas sans douleur, mais il sait y faire, tout en douceur, en poussant doucement, le nœud de sa bite pénètre d'abord mon anus, ouf, j'en ai les larmes au yeux, mais quel plaisir, ce mélange de désir et de douleur, mes jambes flageolent,, mes fesses frémissent, je transpire, j'ai envie, très envie d'engloutir tout entier ce gros calibre.

Quelques instants sans qu'il bouge, son nœud introduit dans mon fourreau anal, la douleur c'est quelque peu estompée, je prends l'initiative, et très lentement je pousse mes fesses vers sa queue, cinq centimètres, une petite pose immobile, puis je m'empale un peu plus sur cet énorme pieux, oups elle est vraiment grosse, je me retire un peu, et je commence de très lents mouvements d'avant en arrière, à chaque fois je vais un peu plus loin, en un peu plus de 15 minutes, je n'ai encore pas réussi à l'engloutir entièrement. 25 cm (sa fait long)

William très docile ne bouge pas. Le désir monte en moi, mes fesses frémissent, mes jambes tremblent, je suis toute trempée de transpiration, je la veux toute entière, la sentir s'enfoncer dans mes entrailles jusqu'à la garde. Pendant ce temps tous les autres mâles sont là, au tour de nous et ne manquent pas un instant du gros plan de cette pénétration, Louis derrière l'objectif de la caméra, ce qui m'excite encore plus et me pousse à vraiment engloutir complètement ce membre. (Fréquentant quelques lieux hard de la capitale, depuis plus de 30 ans que je pratique, je commence à être rodée, j'en ai vus des bites, de toutes les tailles, les gros calibres sont rares, mais des comme celle à William jamais vus).

Je la retire complètement de mon anus, et je l'enduit bien de vaseline sur toute la longueur, cette fois, je vais m'enfiler dessus jusqu'aux testicules. Je fais pénétrer le gland, et à plusieurs reprises, toujours en lents mouvements, je le fais rentrer et sortir de mon anus, ce qui à pour effet de bien le dilater progressivement, comme précédemment, je m'empale chaque fois un peu plus, ce n'ait presque plus douloureux, sa devient peu à peu du plaisir. Je m'immobilise, et William reprend l'initiative, jambes bien écartés fesses bien ouvertes, je me cramponne plus fortement aux bords de cette table, je sens ce pieux, qui à chaque poussée entre plus loin dans mes entrailles, enfin il est tout entier en moi l'entourage applaudi, l'excitation de tous est à son comble. Alors William pour bien aguicher les spectateurs, sort et entre sa que entièrement a chaque mouvements de vas et viens qu'il fait avec lenteur. Il me ramone ainsi une bonne quinzaine de minutes. Les autres mâles ne tiennent plus en place, mais les consignes du maitre des lieux sont formelles :

  • Votre semence, est ce soir exclusivement pour le cul et la bouche de Claudia, à part éjaculer faites ce que vous voulez.

Dès cet instant, je sais ou presque ce qui m'attend pour le reste de la soirée, qui est loin d'être terminée, nous avons tous toute la nuit devant nous. J'ai donc onze bites à faire jouir. Dans la salle maintenant qu'une partie du spectacle est passée, les mecs se masturbent, se caressent, s'embrassent, mais ma fête si je puis dire est loin d'être terminée.

Alors que William continu à me ramoner, les choses se précipitent un peu, Marco qui l'avait précédé, me présente sa bite à sucer, ce que je fais sans me faire priée, à ce stade d'excitation je suis intenable, une vraie salope, chienne en chaleur, avide de sexe prête à enfourner tout ce qui se présente, j'enfourne la bite de Marco jusqu'au fond de la gorge, la prend ainsi en bouche entièrement, la retire tout en aspirant, et recommence, alors ce qui doit arriver arrive, son gland est bien calé au fond de ma gorge, Marco me bloque la tète, fait de courts et rapides mouvements de vas et vient, et d'un jet puissant son sperme gicle, j'avale direct, lorsque il se retire, je reprend ma respiration et pompe les dernières goutes de son jus, pour bien en trouver le gout, je le promène avec ma langue dans ma bouche entre ouverte, et avale, ce qui ne manque pas de donner des idées aux autres mâles.

Changement de position, Louis m'ordonne de m'allonger jambes relevées sur la table basse, donc sur le dos, le cul au ras du bout de la table. Mes poignets sont attachés de chaque cotés aux bords de celle-ci, mes chevilles aussi pour maintenir mon cul bien relevé, la tète au ras de l'autre extrémité de celle-ci, des pinces à seins réglables sont posées sur mes tétons, ainsi qu'un bandeau sur les yeux.Me voici donc soumise à onze males. William, genoux à terre, son gros calibre juste à bonne hauteur, recommence à limer mon anus mais avec des mouvements de vas et viens plus rapides et bien à fond.

Un autre comparse dont je n'ai pas retenu le nom se place bite au dessus de ma bouche, que je n'ai qu'a ouvrir, lui aussi fait des mouvements de vas et vient, il me baise par la bouche, son gland cogne a chaque fois au fond de ma gorge, j'en ai du mal à respirer, un autre me tortille les tétons, et joue avec les pinces qu'il resserre de temps en temps un peu plus, comme ce traitement me fait bander Alain, l'assistant, se met a me sucer, inutile de vous dire que je ne sais plus trop ou je suis, ce mélange de douleur aux tétons, de jouissance anale m'expédie littéralement dans un autre monde.

Je suis là ...... soumise aux désirs de chacun, possédée, prise, les mots crus fusent de toute part, tels que chienne salope, pute à bite et j'en passe. William accélère encore le rythme place son nœud juste a l'entrée de mon trou bien ouvert et y déverse sa semence, un jus abondant, il n'en finit pas de se vider, il enfourne à nouveau sa bite dans mon cul et pousse bien a fond une bonne partie de son foutre, le reste dégouline entre mes fesses et goute sur le sol, puis après quelques vas et vient se retire

Voila mon cul bien graissé et dilaté prêt à recevoir un régiment de bites, venant y déverser leur jus. Les autres convives contemplent le spectacle, celui qui s'active sur ma bouche ne tarde pas non plus à jouir, il éjacule sur ma bouche ouverte, et le maitre me demande de garder en bouche le sperme, alors qu'un autre prend la place, son gland vas et vient dans ma bouche, et baigne dans le sperme de son précédent comparse, je ne dois pas en laisser échapper une goute, ni pour l'instant l'avaler.

Bien sur un des autres invités prend la place de William, et à son tour déverse sa semence dans mon cul, rapide celui la probablement très excité par le spectacle, à la limite de la jouissance, dommage il baisait pourtant bien lui aussi, malgré un sexe plus court mais épais. Les pinces à téton sont encore resserrées un peu, sa commence vraiment à devenir douloureux, mais encore plus excitant, j'en ai la chair de poule et la queue raide comme un bâton.

Et hop encore une giclée de sperme dans la bouche, cette fois elle est pleine, je suis donc autorisée à me gargariser bouche mi ouverte et à tout avaler, ce que je fais. Je me suis complètement abandonnée à ces multiples jouissances, mélange de douleur et de plaisir qui vous envahi tout le Corps, drôle de sensations que je n'avais jusqu'à présent que très peu connue.

Les autre convives chacun à leur tour se sont afférés à me baiser par la bouche et le cul, changeant de place parfois pour certain, et déversant leur semence dans les orifices à leur disposition. J'ai donc avalé ce soir la 6 ou 7 giclées de sperme et compte tenu que certains on joui deux fois j'en ai pris autant dans les fesse.

Pour clôturer la soirée, c'est William qui a nouveau me sodomise, très lentement, et bien a fond entrant et sortant son sexe a chaque vas et vient entièrement de mon anus débordant de foutre qui me dégouline entre les fesses, le maitre Louis qui a passé la caméra à son assistant s'occupe lui de mes tétons en jouant avec les pinces, ainsi, ces deux la sont parvenus a me faire éjaculer sans me toucher la queue, ce qui procure une jouissance indescriptible, et une éjaculation très abondante.

  • Messieurs je vous laisse, profitez du buffet et faites ce que vous voulez ! A 6 heures du matin Alain viendra fermer, jusque là, la soirée est à vous ! Je place ici une petite caméra, n'y touchez pas je crois que j'aurais un beau film à visionner demain, et rassurez-vous après je l'efface.

Puis se tournant vers moi en me donnant un petit carton

  • J'aimerais bien te revoir Claudia, voici mon numéro de portable ! Il se retire avec son comparse.

J'ai bus un dernier verre, ce qui m'a permis de constater qu'on avait effectivement apporté du champagne!

Après une heure passée à papoter et surtout à récupérer, en regardant un film, Marco m'a reconduite au parking ou était garée ma voiture. Je ne me suis même pas changée, je suis restée vêtue en nana, les fesses encore toutes humide de jus.

Comme il fait chaud nous avons fait une halte au bois de Boulogne, ou nous sommes descendus prendre l'air. Nous avons marché un peu dans les contres-allées, il y à encore quelque travestis. Je suis trop crevée pour me faire un mec ou deux, et coté sexe j'ai eu ma dose pour la soirée.

Faudra un de ces jours que je passe une soirée à faire la pute au bois, si quelqu'un veut m'accompagner, me faire signe (travestie habituée du lieu de préférence), je ne m'y aventurerais pas seule, même si de nuit ou de jours il m'arrive de fréquenter certains parkings ou zones boisées, se ne sont pas des lieux de prostitution. (Nous serons au moins deux à vous raconter cette nouvelle aventure.

Depuis j'ai fait de nombreuses sortie et j'organise mes réceptions et soirées libertines et celles de copines.

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Super agréable à lire, une bonne plume pour écrire des choses coquines.....
Ah les urinoir, ou les Vespasienne de l'époque... Des lieux fermés Merci pour ce joli récit que j'ai beaucoup aimé
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